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dimanche 27 avril 2014

Focales en Vercors, 5e rencontres photographiques du 1er au 4 mai 2014. Autour du thème "Le monde du travail"

Focales en Vercors se prépare pour sa cinquième édition qui se tiendra du 1er au 4 mai 2014 à Villard de Lans. La sélection a été faite par le jury le 15 Mars, selon l’originalité du sujet, la qualité et la créativité photographique, et bien sûr le respect du thème. 27 photographes ont répondu à l’appel des Focales sur le thème le monde du travail et ont soumis 317 clichés à la sélection.

Le jury en a retenu 121 provenant de 19 sensibilités différentes : le parisien qui se lève tôt, des travailleurs âgés loin de notre monde, le savoir-faire d’un travail de précision, les conflits, les témoignages d’un monde en mutation … autant de mondes différents nés de la communauté des photographes qui vont exposer.

Pendant ces 4 jours d’exposition, toutes ces personnalités seront mêlées avec celles des invités et du parrain pour de grands moments photographiques.



vendredi 25 avril 2014

Film "La Solitude des nombres premiers" de Saverio Costanzo pour les 20 ans du Petit Bulletin Grenoble, lundi 28 avril 2014 à 20h30

Fin cette semaine du cycle "20 ans de PB, 20 ans de ciné" avec, selon l’endroit où on se place, un grand flashforward dans la traversée des films emblématiques de la ligne éditoriale du journal, ou un léger flashback sur une œuvre récente et passée trop inaperçue à sa sortie : La Solitude des nombres premiers.

Saverio Costanzo adapte ici un best-seller transalpin éponyme, il pratique surtout un grand écart impressionnant entre le cinéma de genre italien, du giallo au film d’horreur, et la chronique déconstruite sur quatre périodes de deux adolescents brisés, qui charrient leurs traumas jusqu’à l’âge adulte. Unis par des liens invisibles – ou soigneusement dissimulés par l’entrelacement scénaristique et une mise en scène onirique et impressionniste – ils sont comme les nombres premiers : seuls mais formant une suite logique. Le film fait entrer dans leur subconscient, labyrinthe mental qui devient à l’écran un dédale temporel et spatial à la lisière du fantastique.

Comme si Dario Argento avait raconté l’enfance malheureuse de sa propre fille (ce n’est un secret pour personne, ladite Asia ne cachant pas ses tourments en interview), Saverio Costanzo fait renaître en mode majeur le cinéma bis de son pays, créant une forme inédite et singulière. La redécouverte est donc impérative – surtout sur grand écran pour apprécier la beauté du travail, en scope et en couleurs éclatantes, du cinéaste.


jeudi 24 avril 2014

A l’arrière comme au front les isérois dans la grande guerre Exposition au Musée dauphinois du 19 avril 2014 au 5 janvier 2015

À l’occasion de la commémoration du centenaire de 1914, le Musée dauphinois consacre une exposition sur la vie quotidienne en Isère lors du premier conflit mondial.

Éloignée des zones de combat, l’Isère n’en est pas moins profondément marquée par cette guerre, tant en raison des effets de la mobilisation que par les conséquences militaires, économiques, sociales et politiques sur le territoire même du département. Celles-ci se traduisent notamment par la présence de dizaines d’hôpitaux – la plupart temporaires – pour soigner les blessés qui arrivent depuis le front, ou encore par les prisonniers de guerre allemands dont la main d’œuvre est requise pour de nombreux chantiers.

L’effort de guerre entraîne également une transformation de l’industrie iséroise au service de la défense nationale, avec l’émergence de nouveaux domaines d’activité liés au conflit. C’est le cas notamment du secteur de la chimie. Dans ce contexte et en raison de l’absence d’une part importante de la population masculine, le rôle de la femme dans la société française évolue rapidement et favorisera sans doute son émancipation au sortir du conflit.

En fin de parcours, l’exposition fait place au temps du souvenir qui suit l’armistice du 11 novembre 1918 et au règlement du conflit qui porte en germe le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre de cette commémoration et au-delà de l’histoire et de la mémoire, le Musée dauphinois souhaite engager une réflexion autour de la notion de paix.

Un programme des nombreux événements organisés dans le département pour le centenaire de 1914 sera édité par le Conseil général de l’Isère.

Le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère présentera, en novembre 1914, l’exposition Les poilus de l’Isère.


mercredi 23 avril 2014

Festival de Cannes 2014 : toutes les sélections

Le Festival de Cannes aura lieu du 14 au 25 mai 2014


67ème Festival de Cannes

Les films de la compétition officielle :

Sils Maria (Olivier Assayas)
Saint-Laurent (Bertrand Bonello)
Sommeil d’hiver (Nuri Bilge Ceylan)
Maps to the Stars (David Cronenberg)
Deux jours, une nuit (Luc et Jean-Pierre Dardenne)
Mommy (Xavier Dolan)
Captives (Atom Egoyan)
Adieu au langage (Jean-Luc Godard)
The Search (Michel Hazanavicius)
The Homesman (Tommy Lee Jones)
Deux fenêtres (Naomi Kawase)
Mr Turner (Mike Leigh)
Jimmy’s Hall (Ken Loach)
Foxcatcher (Bennett Miller)
La Merveille (Alice Rohrwacher)
Relatos Salvajes (Damian Szifron)
Timbuktu (Abderrahmane Sissako)
Leviathan (Andreï Zviaguintsev)

Un Certain Regard
Film d'ouverture: Party girl (Marie Amachoukeli)
Jauja (Lisandro Alonso)
La chambre bleue (Mathieu Amalric)
L'incomprise (Asia Argento)
Titli (Kanu Behl)
Eleanore Rigby (Ned Benson)
Bird People (Pascale Ferran)
Lost river (Ryan Gosling)
Amour fou (Jessica Hausner)
Le pays de Charly (Rolf De Heer)
Snow in paradise (Andrew Hulm)
Xenia (Panos Koutras)
July Jung (Dohee-Ya)
Run (Philippe Lacôte 
Touriste force majeure (Ruben Östlund)
Hermosa Juventud (Jaime Rosales)
Le sel de la terre (Wim Vender et Juliano Ribeiro Salgado)
Fantasia (Wang Chao)
Loin de son absence (Keren Yedey)



Les films de la 46ème Quinzaine des réalisateurs :

Bande de filles (Céline Sciamma)
Films en compétition :
Alleluia (Fabrice du Welz)
Next to Her (Asaf Korman)
Catch me Daddy (Daniel Wolfe)
Cold in July (Jim Mickle)
Les Combattants (Thomas Cailley)
Gett - Le procès de Vivianne Amsalem (Ronit et Shlomi Elkabetz)
Le Conte de la Princesse Kaguya (Isao Takahata)
Mange tes morts (Jean-Charles Hue)
A Hard Day (Seong-Hun Kim)
National Gallery (Frederick Wiseman)
Queen and Country (John Boorman)
Refugiado (Diego Lerman)
These Final Hours (Zak Hilditch)
Tu dors Nicole (Stéphane Lafleur)
Whiplash (Damien Chazelle (révélation Sundance)
Séances spéciales :
P’tit Quinquin (Bruno Dumont), série réalisée pour Arte
Massacre à la tronçonneuse (Tobe Hooper)
Pride (Matthew Warchus)

Courts métrages :
8 Balles (Frank Ternier)
The Revolution Hunter (Margarida Rego)
Cambodia 2099 (Davy Chou)
En août (Jenna Hasse)
Fragments (Aga Woszczynska)
Guy Môquet (Demis Herenger)
Jutra (Marie-Josée Saint-Pierre)
Man on the Chair (Dahee Jeong)
Heartless (Nara Normande et Tiao Tiao)
Torn d’Elmar (Imanov et Engin Kundag)
It can pass through the wall (Radu Jude)



Les films de la 53ème Semaine de la critique

Compétition longs-métrages :
Piu Buio di Mezzanote (Sebastiano Riso)
The Tribe (Myroslav Slaboshpyttskiy)
It Follows (David Robert Mitchell)
Gente de Bien (Franco Lolli)
When Animals Dream (Jonas Alexander Amby)
Hope (Boris Lojkine)
Self Made (Shira Geffen)
Compétition courts-métrages :
A Ciambra (Jonas Carpignano)
Boa Noite Cinderela (Carlos Conceiçao)
The Chicken d’Una Gunjak)
La Contre-Allée (Cécile Ducrocq)
Crocodile (Gaëlle Denis)
Les fleuves m’ont laissée descendre où je voulais (Laurie de Lassale)
Petit frère (Rémi Saint-Michel)
Safari (Gerardo Herrero)
Truelovestory (Gitanjali Rao)



Les films de l'ACID

Brooklyn (Pascal Tessaud)
Cesta ven (Petr Vaclav)
Le Challat de Tunis (Kaouther Ben Hania)
La Fille et le fleuve (Aurélia Georges)
Mercuriales (Virgil Vernier)
New territories (Fabianny Deschamps)
Qui vive (Marianne Tardieu)
Les Règles du jeu (Claudine Bories et Patrice Chagnard)
Spartacus et Cassandra (Ioanis Nuguet)




Exposition. Arnaud Maguet au Centre d'art Bastille (Grenoble), du 27 avril au 22 juin 2014

Lorsque Arnaud Maguet nous a demandé de travailler sur le thème « Au hasard, sur la route », tout de suite le livre de Jack Kerouac s’est imposé comme référence, ainsi que toute la culture des road-movies américains retraçant les espaces de liberté qu’engendrent les voyages et les mythes qui les accompagnent, ceux-là même qui ont donné naissance à cette contre-culture américaine qui sous-tend le travail de l’artiste. Mais à y regarder mieux, être sur la route ne s’arrête pas seulement à cette idée de voyage, c’est aussi ce sentiment de se placer sur le côté, de prendre le temps de voir et de percevoir autrement, de se décaler d’un poil de nos habitudes, de se laisser porter par le flux inconscient de notre environnement immédiat et d’ouvrir notre regard. Ainsi de Nicolas Bouvier et de ses voyages retranscrits dans de nombreux écrits qui, de la Suisse à l’extrême orient, a changé sa manière de percevoir le monde autour de lui en se laissant porter par les rencontres et les situations auxquelles il a du se confronter. Ainsi de Guy Debord et des situationnistes qui établirent une autre vision de notre environnement et de notre géographie proche qu’elle soit physique, mentale, émotionnelle ou sensible en nous invitant à poser un regard différencié sur notre quotidien. L’exposition conçue avec Arnaud Maguet s’attache à ce décalage, conscient ou non, qui se nourrit et crée la richesse de ce qui nous entoure.

mardi 22 avril 2014

Lancement de la refondation de l'éducation prioritaire : rencontre avec les 102 réseaux REP+ préfigurateurs (Ministère de l'éducation nationale)

Benoît Hamon, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, a rencontré les professionnels des 102 réseaux d'éducation prioritaire REP+, réunis en Sorbonne pour leur première journée nationale de travail et d'échanges, mercredi 9 avril. Après la phase de préfiguration, la refondation de l'éducation prioritaire entrera en vigueur à la rentrée 2015 sur l'ensemble des réseaux REP et REP+.

Lire la suite sur le site du ministère

14ème Festival Cinémas du Sud, du 24 au 27 avril 2014, Lyon

La 14ème édition du Festival Cinémas du Sud a l’honneur d’être parrainée par Jack Lang, président de l’Institut du Monde Arabe à Paris. Cette plongée dans le cinéma du Maghreb et du Moyen-Orient d’aujourd’hui, de l’Algérie, Maroc, Tunisie mais aussi de la Palestine, Liban, Syrie, se penche sur le social ou le politique donnant une vision plurielle de ces pays aux histoires et aux destins différents. Les révolutions arabes ont libéré la parole et l’on assiste à l’émergence d’une jeune génération d’auteurs portés par l’élan vital de la jeunesse.

A noter également la présence des réalisateurs, Ahmad Abdalla, Néjib Belkadhi, Jean Claude Codsi, Amor Hakkar, Nour Eddine Lakhmari, Mohamad Malas, Maggie Morgan, Lara Saba qui sont autant d’invités et de rencontres avec le public.

samedi 19 avril 2014

Shakespeareana 2014 : Écriture créative et jeux théâtraux Mercredi 23 avril à 14h30 CRDP de Grenoble

Le Canopé Grenoble (11 avenue Général Champon 38000 Grenoble) accueille mercredi 23 avril à 14h30, un concours de jeux théâtraux en anglais pour des collégiens, ainsi que la traditionnelle remise des prix de nouvelles en anglais pour les lycéens. Dans la cadre des célébrations du 450e anniversaire de la naissance de William Shakespeare, le concours de nouvelles réservé aux lycéens se double cette année d'une compétition de jeux théâtraux ouverte aux collégiens. Pour l'occasion, l'évènement prend le nom de Shakespeareana 2014, la catégorie d'écriture créative devient Shakescript, celle de jeux théâtraux s'intitule Shakestage.

Un événement organisé par l'inspection pédagogique régionale de l'académie de Grenoble, la DAAC et le Canopé.

Le site du CRDP de Grenoble

vendredi 18 avril 2014

Café Lumière avec le Festival du premier roman de Chambéry, mercredi 23 avril 2014


 
Café Lumière avec le Festival du premier roman de Chambéry Mercredi 23 avril 2014 de 17h30 à 19h00 : Du mythe du bon sauvage à Narcisse Pelletier

La DAAC, le Réseau Canopé académie de Grenoble et le Festival du premier roman de Chambéry organisent, en partenariat avec le Musée Stendhal de Grenoble, un café Lumières intitulé Du mythe du bon sauvage à Narcisse Pelletier mercredi 23 avril 2014 de 17h30 à 19h00, à l'appartement natal de Stendhal, 14 rue Jean-Jacques Rousseau, Grenoble.


Séries Mania saison 5 au Forum des Images Paris du 22 au 30 avril 2014

Pour la 5ème année consécutive, le Forum des Images propose avec Séries Mania un festival entièrement dédié aux séries télévisées du monde entier. Si les séries anglo-saxonnes auront à nouveau la part belle la part belle, et ce dès la soirée d'ouverture avec les deux premiers épisodes de True Detective, on trouvera aussi au programme des séries en provenance de Suède, avec les premiers épisodes de la seconde saison très attendue de Real Humans, de Corée du sud avec The End of the World, de Russie avec Le dégel ou encore d'Italie avec, en soirée de clôture, Gomorra, déclinaison télévisuelle du best seller de Roberto Saviano. Comme chaque année, séries anglaises et françaises seront présentes en force. Côté US, deux séries cultes devraient faire événement au Forum des Images : Games of Thrones avec les deux premiers épisodes de la saison 4 et Walking Dead dont l'intégrale de la saison 4 sera présentée au long d'une nuit marathon. Un coup de projecteur sur les webséries et plusieurs rencontres professionnelles sont également prévus.

Forum des Images
2, rue du cinéma
Forum des Halles
75001 Paris
Tél : 01 44 76 63 00

www.forumdesimages.fr

mardi 15 avril 2014

Concours de scénario, festival du film court en plein air de Grenoble

Nouveau concours de scénario. Clôture des inscriptions du concours 5 x 2 minutes le vendredi 18 avril 2014. Ce concours, mis en place avec le GREC et France 2 dans le cadre du prochain Festival du film court en plein air de Grenoble, propose la réalisation par un même auteur de 5x2 minutes dans un même lieu. Le lauréat du concours réalise son projet grâce à une bourse (GREC et Conseil Général de l'Isère) et un préachat de France 2. Christophe Loizillon, réalisateur, est le parrain du concours 2014.

5x2 minutes : diffusion multiple. Projection au Festival du film court en plein air de Grenoble 2015. Diffusion TV dans Histoires courtes sur France 2. Mise en ligne sur les sites internet de France 2, du GREC et de la Cinémathèque de Grenoble.

Règlement du concours et fiche d'inscription sur www.cinemathequedegrenoble.fr.

7ème festival Hallucinations Collectives, du 16 au 21 avril au cinéma Comoedia (Lyon)

La 7ème édition du festival Hallucinations Collectives aura lieu du 16 au 21 avril au cinéma Comoedia (Lyon).

Au programme : des compétitions de longs et courts métrages, une thématique consacrée à “New York : jungle urbaine” ainsi qu’une soirée “New-York Trash” (Street Trash et Frankenhooker), une carte blanche offerte cette année à Pascal Laugier, une rétrospective de la firme “Empire”, sans oublier le traditionnel “Cabinet de curiosités”. Seront présents Pascal Laugier pour sa carte blanche, Julien Maury et Alexandre Bustillo pour leur film “au Yeux des Vivants” en avant-première, Benjamin Rocher et Thierry Poiraud pour “Goal of the Dead” en clôture du festival, Jérôme Bolvin pour “Baxter” et Frédéric Grousset pour “Paranormal Bad Trip 3D”.

Comme chaque année, le festival propose des rendez-vous hors-cinéma : un week-end de création de jeux vidéo en partenariat avec Game Dev Party (4-6 avril) et des évènements autour de l’écrivain Hubert Selby Jr (table-ronde, documentaire). Les Lyonnais pourront rencontrer différents auteurs qui se prêteront au jeu des dédicaces : Gilles Esposito et Christophe Bier seront présents pour signer leur livre “Bis - 20 ans de Programmation à la Cinémathèque Française”, Nicolas Stanzick pour “Midi-Minuit Fantastique” et Jean-Pierre Putters pour “Mad.. ma vie!”.

Enfin, le festival propose une soirée blind test musical au Gonzo Bar pour fêter son ouverture, après la projection du film d’ouverture le 16 avril.


lundi 14 avril 2014

Printemps des initiatives étudiantes, Campus Universitaire de Grenoble du 14 au 17 avril 2014



Le « Printemps » c'est un mini-festival dédié à la valorisation des initiatives qui se déroulera du 14 au 17 avril 2014 sur le campus de Saint-Martin-d'Hères. Initié par l'association SEVE, ce temps fort de printemps vise à rendre visible et à faire se croiser des initiatives étudiantes dans les domaines les plus variés (arts, sciences, solidarités, citoyenneté, environnement, etc.). Etudiants, enseignants-chercheurs, personnels des universités, acteurs associatifs, tout le monde sera invité à venir partager ses expériences, ses projets, ses envies, ses idées ou simplement, un bon moment.

Le programme du Printemps des initiatives

mercredi 9 avril 2014

Cycle "Je t'aime je te filme" à l'Institut Lumière de Lyon en avril


L'Institut Lumière se penche sur son histoire, et revient sur l'une de ses toutes premières programmations, proposée en février 1993, «Je t'aime, je te filme».

Parce que l'amour et le cinéma se sont si souvent mêlés, et continuent de le faire, parce que filmer l'être aimé apparaît chez les cinéastes comme un prolongement de leurs sentiments, et parce qu'ils ont donné lieu à quelques-uns des plus beaux films de l'histoire du cinéma, hommage à ces couples de cinéma mythiques.


mardi 8 avril 2014

14e Festival Vues d'en face du 11 au 19 avril 2014, cinéma le Club Grenoble

La 14ème édition du Festival International du film gay et lesbien Vues d'en face aura lieu comme chaque année au cinéma Le Club de Grenoble, dans une salle désormais rénovée. Au programme, 25 séances, 38 films issus de 15 pays, courts métrages, longs métrages, fictions ou documentaires pour tous les goûts et toutes les cinéphilies. Les spectateurs pourront rencontrer de nombreux invités, voir une expo photos, un concert et un pique-nique à la Bastille pour finir en beauté le Festival.

lundi 7 avril 2014

LES GARÇONS ET GUILLAUME A TABLE Concours Cinéduc analyse et critiques de films 2013-2014 Fiche critique

Titre du film : Les garçons et Guillaume, à table !

Titre de la critique : Les garçons et Guillaume, à table ! ou comment faire un coming out hétéro !

Une enfance hors du commun, du talent pour la raconter, c’est tout ce qu'il fallait à Guillaume Gallienne pour nous offrir cette comédie délirante et nous faire passer un très agréable moment.
Guillaume, garçon doux et sensible, est admiratif des femmes, et en particulier de sa mère. Martyrisé par les autres pour son côté efféminé, il résiste et affronte ses problèmes d’adolescent. Comme tout garçon de son âge, il se cherche et tente de nouvelles expériences. Mais comment se trouver quand votre famille a décrété que vous étiez homo ? Comment grandir dans une famille qui ne cesse de vous juger comme un garçon à part ? Telles sont les questions auxquelles Guillaume est confronté, souvent dans de drôles de situations.
Hilarant. Aucun autre mot ne pourrait mieux décrire cette comédie déjantée, imaginée par Guillaume Gallienne et adaptée de sa pièce de théâtre. Pendant plus d'une heure vingt on rit, on réfléchit, on s’émeut. On s'émeut devant l’adolescence à part de ce garçon, devant son quotidien loin d’être facile, mais qu'il nous raconte toujours avec humour. Un humour décalé, notamment avec cette scène où Guillaume est au Spa pour, le croit-il, un massage, mais malheureusement pour lui ce rendez-vous est en fait un « nettoyage ». Irrésistible !
Quand la France est divisée par de nombreux débats sur les droits des homosexuels, qui soulèvent également des questions sur l’identité sexuelle,  Les garçons et Guillaume, à table ! tombe à pic ! En effet il apporte une vision novatrice des choses et brise les préjugés. Théâtre, cinéma, acteur, réalisateur, Guillaume Gallienne est partout et il excelle ! Son jeu est d'une parfaite justesse, il joue l'émotion sans tomber dans le sentimentalisme, et on ne peut qu’apprécier sa remarquable prestation quand il interprète ce rôle loufoque et attachant, le sien. En prime, il joue pendant la quasi-totalité du film le rôle de sa mère, si présente et si idolâtrée durant son enfance. Le plus impressionnant reste la façon dont Gallienne évoque des sujets si tabous encore, en ne laissant transparaître aucune gêne, nous faisant rire en les dédramatisant. On ressort de cette séance le sourire aux lèvres avec un arrière-goût fort agréable même si nos idées reçues sont bouleversées. A voir absolument !

Noms et prénoms des élèves : Buttay Léa, Dorado Romane, Pino Célia.

Établissement : Collège de l’Europe Jean Monnet 12, avenue Antonin Vallon 26300 Bourg de Péage
Nom du chef d'établissement : Anahita Bianquis
Classe : 3e3
Nom du professeur : Delphine Lenicolais


THE LUNCHBOX Concours Cinéduc analyse et critiques de films 2013-2014 Fiche critique

Titre du film : The lunchbox

Titre de la critique : Un étonnant Curry Movie

Heure de pointe, la foule grouillante de Bombay, des dabbawallahs sur leurs vélos alourdis par les lunchbox, nous voici tout doucement plongés dans le premier long-métrage de Ritesh Batra, loin des artifices des films Bollywoodiens...
Face à cet extérieur dynamique s'opposent deux personnages délaissés : Ila, belle comme le jour, qui tente de reconquérir son mari par de savoureux plats mitonnés chaque matin dans sa petite cuisine et Saajan, comptable veuf près de la retraite, vivent chacun le même quotidien lent et ennuyeux. Mais, une erreur de livraison et tout bascule. La lunchbox destinée à l'époux d'Ila arrive dans les mains du comptable grincheux. C'est ainsi que commence un échange épistolaire entre ces deux inconnus.
C'est d'abord en ouvrant et en humant les arômes épicés de la première lunchbox arrivée par erreur que Saajan et Ila vont se découvrir.
L'odorat joue donc ici un rôle majeur : c'est en sentant les chemises de son mari que la jeune femme comprend pourquoi celui-ci est si distant, c'est aussi l'arôme que dégagent les boîtes en fer qui va rapprocher le comptable du jeune Shaik, joyeux et énergique, venu succéder au poste et qui pourtant nous paraissait bien agaçant.
The Lunchbox c'est également de nombreux personnages secondaires que l'on voit rarement mais qui nous obligent inconsciemment à nous concentrer sur les trois principaux : on retrouve notamment Auntie, voisine extravagante et invisible d'Ila. Elle joue presque le rôle de sa conscience, participe à la comédie et se distingue des autres personnages muets qui évoquent une tonalité plus dramatique : un père sans visage, un mari absent et inconsistant puis une femme décédée, fantomatique et présente à travers des cassettes.
Autre belle idée, le réalisateur n'hésite pas à faire revenir les lieux régulièrement : Saajan au bureau puis du train à son balcon. Et Ila, recroquevillée dans tous ces lieux identiques : sa cuisine, les couloirs de son appartement. Ce qui pourrait paraître répétitif, à la limite du soporifique mais qui étrangement fait de ce film un vrai récit initiatique où chacun évolue grâce à l'autre.
The Lunchbox fait vite de nous des témoins de l'intimité de ces deux inconnus dont nous lisons toutes les lettres et nous embarque dans leur histoire. Un film qui nous pousse au voyage et nous met dès les premières secondes l'eau à la bouche...

Noms et prénoms des élèves : Lisa Mionnet, Augustine Groélat et Mathis Grattessole.

Établissement : collège Jean Ferrat 29, Route d'Agnin BP 350 38150 Salaise sur Sanne 
Nom du chef d'établissement : Mme Maingon
Classe : troisième 3
Nom du professeur : Hélène Vaumont

LE LOUP DE WALL STREET Concours Cinéduc analyse et critiques de films 2013-2014 Fiche critique

Le Loup de Wall Street

Titre de la critique : « Qu’est-ce qu’une vie réussie ? » 
 
Ce film raconte l’ascension fulgurante de Jordan Belfort, jeune courtier en bourse à Wall Street. Jordan fait ses premiers pas dans une entreprise où un patron malsain mais efficace, le forme. Arrive le jour où il se décide à ouvrir sa propre boîte et à former sa propre équipe.
Dès la première scène, Scorsese nous entraine directement dans un monde où le sexe, la drogue et l’argent sont très présents. Grâce au succès de son entreprise, il accède au monde « des riches » qui lui monte vite à la tête. Jordan vit dans l’extrême et y prend goût.
Pour lui, rien n’est jamais assez, au point de mettre en jeu ses valeurs, sa vie et celle de son entourage. Quelques mauvaises rencontres l’éloigneront de son ambition de départ.
Le scénario est bien construit et nous a plu. Le flashback du début donne envie d’entrer dans le film et de savoir comment le héros est parvenu à atteindre le succès. On est pris à partie par Jordan Belfort car l’acteur s’adresse directement à nous, en nous regardant de face. Le jeu des acteurs est excellent. Il y a beaucoup d’humour et la musique soutient le film du début à la fin. Enfin, le rythme du film est très intense, à l’image du rythme de vie des personnages. Malgré sa durée, le film nous capte jusqu’à la fin, on veut en savoir plus. Seul petit bémol : certaines images sont trop détaillées, par rapport au sexe notamment, et certaines scènes répétitives auraient peut-être pu être supprimées. C’était du moins notre sentiment en sortant de la salle, mais en les analysant on se rend compte qu’elles ont toutes une signification particulière. Grâce à elles, nous partageons les moments d’excès, voir de folie, qui caractérisent cet univers.
Au-delà de la qualité du film, la vie de Jordan Belfort nous a touchés. On en ressort épuisé mais pas indifférent. Cette histoire pose question à tous : qu’est ce qu’une vie réussie ?
Pour finir, le réalisateur a voulu faire un petit clin d’oeil au vrai Jordan Belfort en l’intégrant en tant qu’animateur dans la dernière scène. C’est une histoire vraie tirée du livre « Le Loup de Wall Street ».



Noms et prénoms des élèves : BRIZARD Floriane - ROJAS MENDOZA Aurélie - TEIHOARII Rosalie

Établissement : Ecole de la 2ème Chance Isère (E2C) – 8 rue Aimé Pupin 38100 Grenoble
Nom du chef d'établissement : Dominique JANNOT
Classe : Stagiaires de l’E2C Isère
Nom du professeur : Cécile DERUE

Consultez la fiche allociné 

 

Vidéo : L'art du débat en collège : les filles et les garçons, la violence et le langage

Une réflexion magnifique de collégiens sur la loi, l'éducation et la violence sous toutes ses formes : manque de respect, origine du harcèlement, relations garçons filles, etc. Coproduction 1011, Education Nationale — CRDP / CNDP — et Conseil Général de l'Isère. Tourné en 2006 au Collège Flavius Vaussenat d'Allevard, Académie de Grenoble.

https://www.youtube.com/watch?v=mjmmsUcL9e4

vendredi 4 avril 2014

« La Pointe et l'ombre ». Musée de Grenoble

A la suite du professeur Etienne Brunet, nous nous approchons des dessins nordiques présentés jusqu’au 9 juin au Musée de Grenoble.
Une pause bienvenue parmi les installations parfois tapageuses, les monumentales exhibitions, les sollicitations tonitruantes.
Ici les personnages sont si petits, les papiers si fragiles, les touches à la sanguine si légères, les rehauts de blanc si décisifs, les choix si subtils que nous sommes aussi dépaysés que si nous avions suivi les rails vers quelque café d’Amsterdam aux effluves rieurs.
J’aime ces taches, ces plis, où la maturité des artistes se mesure dans un trait suspendu alors que le débutant appuie.
A la plume les rythmes forment une écriture, une pointe de lavis nous fait fondre.
Avant le Musée place Verdun, à l’emplacement du lycée Stendhal, il y avait déjà un fond de dessins dont certains sont ressuscités à l’occasion de cette troisième présentation, ils en retrouvent d’autres dont nous apprécions la mise au jour.
Nous passons du genre enluminure moyenâgeuse, aux apaisants ordonnancements eau/ terre/ ciel, aux trouées qui permettent d’aller au-delà du premier plan, avec des arbres présentés frontalement ou amenés à la lumière pas des compositions habiles.
Sur l’un des dessins, l’étudiant Cornélius ouvrira-t-il les yeux après que sa passion d’un soir lui eut présenté le fruit de ses abandons ? Sur un autre Achille déguisé en fille au milieu des filles de Lycomède se trahit, il choisit une épée au milieu des tissus : c’est son genre. De quoi réviser ou découvrir des épisodes de la mythologie ou de la bible : la représentation du sulfureux Jéroboam n’est pas anecdotique dans ces contrées qui connurent bien des affrontements entre catholiques des Flandres et réformés de Hollande où des artistes même devenus protestants continuèrent à travailler pour ceux qui chérissaient les images.
Au sortir de ces années furieuses, la fierté de vivre dans un pays où règne calme et harmonie transparaît : vues typographiques, panoramas, marines et forêts, paysages idylliques, commerce sur le Rhin, scènes du quotidien, animaux...

On se rend compte que finalement les ruines italiennes ne datent pas toutes de l’antiquité et que « ce que n'ont pas fait les barbares, les Barberini l'ont fait » bien plus tard ; les vieilleries écroulées ont parfois du charme. Par ailleurs si un trait est appuyé c’est que le dessin a du se faire à la lueur d’une bougie, notre guide nous rappelle tout ce que les couleurs des cubistes devaient à l’éclairage au gaz.
Avant d’arriver à l’autoportrait au chevalet de Rembrandt, un parmi les 40 peintures, les 30 eaux fortes qu’il fit de lui-même, nous traversons la salle consacrée à ses disciples virtuoses, rapides où souvent se pressent un événement à venir. Cet acharnement à se représenter s’affronte à la difficulté majeure de la description du corps et ses « touches beurrées » nous parlent comme lorsque Courbet fumant sa pipe et fermant les yeux veut se montrer en « homme désillusionné des sottises qui ont servi à son éducation et qui cherche à s’asseoir dans ses principes », comme il le dit lui-même.
Lors d’un relevé de biens lors d’une faillite, chez Rembrandt Harmenszoon van Rijn, un christ « d’après nature » fut répertorié.
Nous pouvons continuer à chercher la figure de l’homme et de ses fils.

(Texte proposé par Guy Chassigneux, http://blog-de-guy.blogspot.fr/)

jeudi 3 avril 2014

Seul et ensemble, 12e Printemps du livre du 9 au 13 avril 2014, Grenoble

“Seul et ensemble”, sous cet intitulé, la nouvelle édition du festival s’intéresse à l’altérité, à la relation de l’un à l’autre, dans la sphère intime ou des uns aux autres dans une dimension collective. Ainsi, comme chaque année, le Printemps ouvre un vaste champ de questions. Qu’est qui nous dif­férencie, nous distingue les uns des autres et fait de chacun un être singulier ? Et en contrepoint : qu’est-ce qui nous fédère, nous rassemble et nous amène à dépasser nos différences et le sentiment d’être seul, pour, ensemble, en couple, en groupe, faire société ?

Autour d’une cinquantaine d’invités, romanciers, essayistes, dramaturges, poètes, illustrateurs, mais aussi comédiens, musiciens, photographes, et artistes peintres, le Printemps du livre réunira des lecteurs réguliers ou occasionnels de tous âges pour des spectacles, des expositions, des ateliers, des lectures et des échanges sensibles, vifs parfois, mais toujours enrichissants.
Seul et ensemble, c’est aussi un clin d’œil à “l’esprit” du Printemps du livre qui depuis 2003 démontre que si l’acte d’écrire comme l’acte de lire exigent d’être “seul”, la littérature invite à être “ensemble” pour en débattre et mérite d’occuper la place qui lui revient au cœur de la cité.

mercredi 2 avril 2014

6ème Festival de Géopolitique du 3 au 6 avril 2014 EURASIE : L'avenir de l'Europe ?

Traiter des liens réels et possibles entre l'Europe et l'espace russe, c'est questionner l'émergence russe, ses opportunités de marché, de collaboration, sa puissance concurrentielle pour l'Europe. Energie, informatique, chimie, minéraux, agriculture, infrastructures, luxe, les potentiels sont nombreux, mais l'espace eurasiatique est-il vraiment ouvert ? Corruption, fragilités bancaires, déséquilibres financiers, nationalisme économique et politique, obsolescence, inégalités de revenus sont des obstacles à prendre en compte pour une stratégie de développement vers l'Est. Comment évaluer, développer, et collaborer autour de ce potentiel avec l'ex-URSS ? Un des multiples aspects que le festival de géopolitique s'attachera à décrypter pour vous.


mardi 1 avril 2014

Une nuit trop courte, 11e Festival international de courts-métrages étudiants, Grenoble (3, 4 et 5 avril 2014)



Jeudi 3 avril à 20h, cinéma le Club Grenoble : soirée Cultures Urbaines
Exposition de photos, projection de courts-métrages sur le thème de la culture urbaine, musique et buffet. Un graffeur viendra même partager son expérience avec le public.
Prix de la soirée: 6euros

Vendredi 4 avril, salle Rouge 10 rue Ampère Grenoble : Découverte du court-métrage d'animation
De 14h à 17h nous ferons découvrir aux collégiens du collège Saint Bruno de Grenoble les métiers du court-métrage (écriture de scénario, exposition photo, projection)
Le soir, 4 séances sont organisées pour permettre au public grenoblois de voir les meilleures créations des écoles d'animation de France.
Les séances débutent à 17h, 19h, 21h et 23h. Nous vous prions d'arriver en avance pour pouvoir vous installer confortablement
Prix de la soirée: 5 euros

Samedi 5 avril, Salle Juliet Berto, Cinémathèque de Grenoble : soirée de compétition
De 17h à 18h l'association invite les grenoblois à une conférence sur le court métrage.
A 19h30 la soirée de compétition commence. Venez voir les meilleurs courts-métrages de l'année que les étudiants en école de cinéma à travers le monde ont réalisé pour vous. La soirée se termine après la remise des prix vers 23h30. Deux prix sont décernés: le prix du jury et le prix du public.
prix de la soirée: 6euros



Conférence la Culture Partagée Mercredi 2 avril de 14h30 à 17h au Canopé de Grenoble pour une conférence dans le cadre du cycle l’Homme et la matière


Jérôme Euzenat, Communication et @daptation : la fabrique de la communication flexible
Les systèmes informatiques sont conçus pour communiquer entre eux sur un modèle d’ingénierie : ils doivent implémenter un protocole précis, utiliser une syntaxe conforme. Ils sont conçus pour fonctionner correctement. Nous avons la capacité à surmonter des incompréhensions. L’échec d’une tentative de communication est utilisé pour adapter notre interaction (niveau de langue, explication du contexte, etc.). Ces particularités rendent la communication humaine robuste et lui permettent de s’adapter à l’évolution de l’environnement. Dans cet exposé, nous évoquerons divers travaux utilisant ces propriétés pour expliquer l’émergence du langage et de la parole, et leur utilisation par des robots ou des agents artificiels. Ces techniques sont consacrées à la partie visible de la communication (le langage). Nous en discuterons l’extension à sa partie cachée : la connaissance. 
 
Daniel Parrochia, Réseau, matière, territoire : quelques aspects historiques de la notion de réseau
Il s’agira de présenter une brève histoire de la notion de réseau. Sans prétendre à l’exhaustivité, nous nous limiterons, pour l’essentiel, à l’histoire du noyau rationnel de cette notion, et tenterons de montrer comment elle s’est peu à peu dégagée du halo d’images et d’obstacles épistémologiques qui l’entouraient. Nous irons des aspects pré-historiques de cette notion (le réseau comme filet) à ses usages effectifs dans la science moderne (théorie des graphes et des réseaux) en montrant comment, de l’organisation de la matière à celle du territoire puis des moyens de communication, cette notion de réseau s’est avérée, peu à peu indispensable pour décrire les sociétés contemporaines, leur organisation et même les modèles qui permettent d’en rendre compte.

Lieu : CRDP de Grenoble 11 avenue Général Champon 38000 Grenoble
 Un événement conçu par Le Muséum de Grenoble en collaboration avec le Canopé de l’académie de Grenoble, l’Association des Professeurs de Biologie et de Géologie, le Rectorat de l’académie de Grenoble, avec le concours de la DAAC.
Renseignementset inscriptions : 04.76.74.76.87