Les Ambassadeurs du Cinéma Le Club (Grenoble) ont interviewé les
réalisateurs Hanna Ladoul et Marco La Via, dans le cadre de
l'Avant-Première de leur film "Nous les Coyotes"
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vendredi 14 décembre 2018
dimanche 25 novembre 2018
Nous les coyotes, lundi 3 décembre au cinéma le Club Grenoble
Cinéduc,
en partenariat avec l'ACID vous propose de visionner au cinéma Le
Club le film Nous les coyotes de Hanna Ladoul et
Marco La Via, en présence des deux réalisateurs qui animeront le
débat à la fin de la projection.
Ce
film a été sélectionné lors du Festival de Cannes 2018 par l'ACID
(Association pour le Cinéma Indépendant et sa Diffusion).
Synopsis
: Amanda et Jake ont la vingtaine et veulent commencer une
nouvelle vie ensemble à Los Angeles. Rien ne se passe comme prévu
pour le jeune couple. Leur première journée dans la Cité des
Anges va les emmener de déconvenues en surprises d'un bout à
l'autre de la ville.
La
séance aura lieu le lundi 3 décembre à 9h30 au cinéma le Club de
Grenoble, 9 bis rue du Phalanstère.
Possibilité
d'utiliser la carte Pass Région +1€
Le
film sera également projeté en avant-première publique le même
soir toujous au cinéma Le Club à 20h15.
La
bande annonce sur allociné
contact :
contact.cineduc@gmail.com
jeudi 14 juin 2018
Débat ciné - festival "Écrans Juniors" 2018 Diffusion à l’antenne samedi 16 et 20 juin 2018 à 14h30
Vous pouvez écouter sur le site de Radio Grésivaudan l'atelier Ciné-Radio produit dans le cadre du Festival Ecrans Juniors 2018.
Cliquer pour accéder au débat ciné
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lundi 4 juin 2018
Ecrans Juniors 2018 : le bilan des ateliers
Le
Tympan dans l’œil (Juliette et Lucia)
Nous
allons vous parler du Tympan dans l’œil, portant sur la musique et
sa correspondance avec les images d’un film, d’où son nom. Nous
avons découvert une salle avec tout type de matériel permettant de
créer de la musique : la diversité de ce matériel nous a
surprises puisqu’on pouvait trouver aussi bien des instruments
acoustiques de récupération (sacs plastiques, bouteilles) ou des
percussions (claves, tambours) que du matériel électronique (tables
de mixage, logiciel, synthétiseur). Nous avons travaillé sur une
scène de Family Film que nous avons vu le mardi. C’est
un passage de quelques minutes où on voit le chien livré à
lui-même sur une île qui semble déserte, et nous avons donc
cherché à inventer une bande son correspondant au déroulement de
la scène. Nous avons trouvé cela vraiment intéressant de pouvoir
expérimenter et toucher au matériel. Cette découverte du monde du
mixage a donc été un vrai plaisir pour nous et cela nous a même
donné envie de poursuivre cette expérience en autonomie. Nous
remercions l’intervenant qui a été très impliqué en étant
clair dans ses explications. Il a su rendre cet atelier dynamique et
plaisant pour tous.
Radio
Grésivaudan (Typhaine)
Au
début, je ne vais pas vous le cacher, répéter les critiques des
films, exprimée déjà au cours des échanges, à la suite des
films, ne me motivait pas. Il fallait aussi « briser la
glace » avec un nouveau groupe formé de lycéens, collégiens
et Italiennes.
Mais
la deuxième séance, avec le matériel, les micros, nous permet de
nous faire vivre une expérience de radio stimulante. Nous avons eu
l’occasion de parler librement, de donner notre avis, et surtout de
débattre, d’exprimer des avis différents, qui nous amènent à
nous poser d’autres questions. Et au fur et à mesure de la séance,
je me suis prêtée au jeu et amusée.
Ecrans Juniors 2018 : le bilan des films vus
Classe
Jury (élève) : Mon expérience en tant que jury m’a
énormément plu. Je trouve intéressant d’une part pour enrichir
notre culture cinématographique de visionner des films que nous
n’allons pas voir de notre côté, en dehors de la classe, entre
amis ou avec nos parents.
Les
films sélectionnés sont très variés et nous touchent : ils
abordent des sujets de notre vie, des questions qu’on se pose...et
en même temps ils sont variés et nous font voyager. On a adoré Une
année polaire, qui montre la difficile intégration d’un
instituteur dans un village inuit. Les paysages étaient superbes,
comme dans Sami, une jeunesse en Laponie, qui propose
le destin « inverse » d’une jeune fille voulant
s’extraire de sa communauté lapone. La question de la liberté, de
la prise d’indépendance et des relations familiales avec Family
film, de l’identité sexuelle et de l’amitié dans Mon
meilleur ami, du désir dans Vierges et de la
maladie dans Mes frères.
Le
plus intéressant est le fait de débriffer à chaque fin de séance
avec un comédien professionnel. Nous avons eu pour président de
festival Sören Prévost. Le fait de donner notre avis et d’écouter
les autres nous permet de comprendre ce que nous n’avions pas bien
assimilé et d’aller plus loin dans notre réflexion.
Nous
avons à la fin de la semaine élu notre film gagnant : The
Strange ones. Ce film, très mystérieux, nous a
déstabilisés. Nous avons trouvé troublant ce road movie car nous
ne nous rendons pas bien compte au début de l’état psychologique
de l’enfant, personnage principal du film. Son jeu d’acteur est
incroyable. Voilà un film à revoir et qui touchera un public plus
large, nous en sommes sûrs !
Classe
jury (professeur) : Cette semaine aux allures festives m’a
permis de découvrir mes élèves « hors les murs » et de
quitter la discussion frontale. Certains élèves se sont alors plus
librement exprimés et ont approfondi leurs remarques esthétiques ou
leurs avis, leurs sentiments. Les échanges se sont poursuivis en
dehors de la salle de cinéma dans les temps informels :
pique-niques et trajets ! Je suis fière de leur investissement
dans les ateliers « Radio Grésivaudan » et « Le
Tympan dans l’œil » mais aussi comme reporters de cette
semaine. La soirée clôture a permis de valoriser leurs travaux et
leur rôle tout en conviant les parents de la classe à la projection
du film choisi.
Il
m’a semblé intéressant de rattacher les films inédits ou en
avant-première à d’autres genre comme le western ou le road
movie, à des films connus voire cultes : Into the Wild,
Shining, Le Scaphandre et le papillon, ou réalisateurs comme Emir
Kusturica… Et les élèves m’ont aussi fait part de films et
séries de LEUR culture.
Ayant
déjà participé au festival, j’avais l’intention de « croiser »
encore les films à notre retour en classe : la question sur
corpus, la dissertation ou le sujet d’invention sont faciles à
mettre en place. Mais l’expérience de classe jury a été
prolongée par deux débats plus intimes : « Faut-il tout
dire à ses parents ? », « Doit-on faire ses
expériences ? ».
mercredi 16 mai 2018
Ecrans Juniors 2018, Cinéma Le Club Grenoble, du mardi 22 au vendredi 25 mai 2018
Sept
films inédits en compétition.
Une
classe Jury du lycée André Argouges de Grenoble encadrée par leur
professeur.
Un
président : Sören Prévost
Visionnements,
discussions, délibérations et à l'arrivée : un prix décerné
LES
FILMS
Mardi
22 mai 9h30 : Une année polaire
France ;
2018 ; 1h34. Réalisation : Samuel Collardey. Avec : Anders
Hvidegaard, Asser Boassen, Thomasine Jonathansen.
Pour
son premier poste d’instituteur, Anders choisit l’aventure et les
grands espaces: il part enseigner au Groenland, à Tiniteqilaaq, un
hameau inuit de 80 habitants. Dans ce village isolé du reste du
monde, la vie est rude, plus rude que ce qu’Anders imaginait. Pour
s’intégrer, loin des repères de son Danemark natal, il va devoir
apprendre à connaître cette communauté et ses coutumes.
Mardi
22 mai 13h30 : Family Film
République
Tchèque ; 2018 ; 1h34. Réalisation : Olmo Omerzu. Avec :
Karel Roden, Vanda Hybnerová, Daniel Kadlec.
Igor
et Irena, un couple fortuné de Prague, partent avec leur chien Otto
pour de longues vacances à la voile dans l'océan Indien. Leurs deux
enfants – Anna la lycéenne et son jeune frère Erik – laissés
seuls et sans contrôle parental chez eux, souhaitent profiter
pleinement de cette liberté nouvelle. Igor et Irena n’ont-ils pas
un peu trop surestimé le sens des responsabilités de leurs deux
enfants ?
Mercredi
23 mai 9h30 : Mon meilleur ami
Argentine ;
2018 ; 1h30. Réalisation : Martin Deus. Avec : Angelo Mutti
Spinetta.
Lorenzo
est un adolescent agréable et studieux qui vit dans une petite ville
de Patagonie. Un jour son père décide d’accueillir sous leur toit
Caíto, un jeune garçon frondeur et mystérieux. D’abord méfiant,
Lorenzo va peu à peu se rapprocher de Caíto sans soupçonner les
conséquences de cette nouvelle amitié... Mais Caíto a un secret.
Mercredi
23 mai 13h30 : Vierges
France
Israël, 2018, 1h30. Réalisation : Keren Ben Rafael. Avec : Joy
Rieger, Evgenia Dodina, Michael Aloni.
À
Kiryat Yam, petite station balnéaire au nord d’Israël, tout
semble s’être arrêté. Lana, 16 ans, s’est jurée de lutter
contre l’immobilisme et la résignation. Elle est loin d’imaginer
que la rumeur d’une sirène va réveiller sa ville de sa torpeur et
lui permettre enfin de vivre.
Jeudi
24 mai 9h30 : Mes Frères
France,
2018, 1h44. Réalisation : Bertrand Guerry. Avec : David Arribe,
Thomas Guerry, Sacha Guerry.
Deux
frères, Eddy et Rocco, ont connu leur heure de gloire sur la scène
« Rock Indé » à la fin des années 90. On les retrouve dix ans
plus tard sur une île, défilant en tête de la fanfare locale. Les
souffrances ont brisé les cœurs et meurtri les corps, mais la joie
va renaître de la fraternité.
Jeudi
24 mai 13h30 : The Strange ones
USA ;
2018 ; 1h21. Réalisation : Christopher Radcliffet et
Lauren Wolkstein. Avec : Alex Pettyfer, James Freedson-Jackson,
Emily Althaus, Gene Jones.
A
bord de leur voiture, Sam et Nick sillonnent les routes de campagne
américaine. Pour certains qu'ils croisent, ils sont deux frères
partis camper, pour d'autres, des fugitifs. Durant ce road-trip, de
mystérieux événements surviennent, faisant peu à peu éclater la
vérité au grand jour.
Vendredi
25 mai 9h30 : Sami une jeunesse en Laponie
Suède ;
2018 ; 1h53. Réalisation Amanda Kernell. Avec Lene Cecilia
Sparrok, Hanna Alström, Mia Erika Sparrok.
Une
vieille dame accompagne son fils en Laponie, terre de ses origines,
au nord de la Suède, pour l'enterrement de sa sœur. Elle n'a aucune
envie de renouer avec sa famille et sa communauté, qu'elle à
quittées très jeune. Les souvenirs des humiliations qu'elle a
subies, adolescente, lui reviennent en mémoire. Après avoir changé
d'identité pour échapper à un destin trop étroit, le rejet de ses
origines lui apparaît soudain comme un mensonge à elle-même.
Vendredi
25 mai 18h
PROJECTION
DU PALMARES ECRANS JUNIORS 2018
Séances
ouvertes au public. Tarifs habituels. Pré-achats à l’accueil du
cinéma et sur Internet.
Tarifs
scolaires : Pass Région + 1€
5€
tarif lycéen, 4,50€ tarif collégien
contact :
julie@cinemaleclub.com
Le
site du cinéma Le Club : http://cinemaleclub.net/
dimanche 4 février 2018
7eme Biennale CINEDUC LES JEUX OLYMPIQUES A CONTRE-COURANT OU LE REVERS DE LA MEDAILLE
7eme Biennale CINEDUC, LES
JEUX OLYMPIQUES A CONTRE-COURANT OU LE REVERS DE LA MEDAILLE : En
2018 la 7e Biennale CINEDUC contribue à la célébration du 50ème
anniversaire des J.O. de Grenoble en jetant un regard sur l’Olympisme
à travers le monde.
Programme
Programme
LUNDI
12 FEVRIER
19h
Auditorium de la Maison du Tourisme Grenoble
LE
STADE BLANC (DAS WEISSE STADION) de Arnold Frank & Othmar
Gurtner, Suisse, 1928, 86'
Un
document rare, exceptionnel, presque surréaliste. En noir et blanc.
En 1928, 25 pays s'affrontent à St Moritz en Suisse lors des JO
d'hiver.Si,
bien des disciplines sont encore à l'honneur aujourd'hui, d'autres
ont disparu comme par exemple le ski joëring, une course de chevaux
sur une piste glacée dans laquelle l'animal attelé tirait un
skieur.Film
muet accompagné de la création musicale réalisée par l'Université
de musique de Fribourg (de) sous la direction de Cornelius
Schwehr.
Intervenants:
Pierre Jailloux et Pierre Mériaux
Entrée
gratuite
MARDI
13 FEVRIER
19h
Auditorium de la Maison du Tourisme Grenoble
LES
DIEUX DU STADE, (OLYMPIA) de Leni Riefenstahl (1ere
partie) Allemagne, 1938,
Ce
documentaire allemand (1938) de la réalisatrice officielle du Reich
allemand, Leni Riefenstahl raconte
par l'image et le son les JO d''été de 1936. Se déroulant à
Berlin, ces JO furent une véritable œuvre
de propagande pour le régime hitlérien. Il y eut un boycott de la
part d'une partie du monde sportif
et des Fronts populaires français et espagnols.Le
documentaire met l'accent sur l'esthétisme des corps, les mouvements
d'ensemble, avec des images
révolutionnaires pour l'époque tant par leur angle de vue que par
les mouvements decaméra
qu'elles impliquent. Film de propagande, il peut être regardé comme
un documentaire sportif, en tout cas comme un chef d'oeuvre
artistique.
Intervenant : Guillaume Bourgois
Entrée
gratuite
MARDI
20 FEVRIER –
19h, Hôtel de Ville de Grenoble
CAMINHO
DA COPA de F.Rodrigues et Carolina Caffé Brésil, 2012, 26'
Ce
documentaire aborde les transformations et impacts sociaux liés à
la mise en place des
« megas-eventos » comme les JO dans des villes brésiliennes telles
que Rio deJaneiro
et Sao Paulo. En donnant la parole aux habitants et à des
spécialistes, il ouvrele
débat sur la question du droit au logement autour de ces grands
évènements internationaux.
JOGOS
DE PODER de Susanna Lira Brésil, 2013 , 25'
Comment
la ville de Rio de Janeiro se prépare-t-elle a accueillir la Coupe
du monde et les
JO ? Les investissements sont énormes mais rarement négociés avec
les représentants
sociaux impliqués dans la restructuration de la ville. JOGOS DE
PODER aborde
la question du droit à la ville et de la lutte entre gouvernants et
résidents.
Intervenant : Olivier
Bertrand
Entrée
gratuite
20h
Cinéma Le Club Grenoble
FAVELA
OLIMPICA de Samuel Chalard, Suisse, 2017, 93
Rio
de Janeiro de part et d'autre du mur qui sépare le Parc Olympique en
construction de
la favela de Vila Autodromo. Même si rien n’empêche la cohabitation
entre ces 2 mondes, certains les jugent
« incompatibles », à commencer par le maire de Rio qui entreprend
la récupération de ce terrain réservé
aux populations défavorisées. Et les habitants, contre toute
attente, parviennent à repousser leur expulsion
au prix d'une lutte acharnée. Une course contre la montre s'engage
alors entre la favela de Vila Autodromo
et le maire de Rio. Documentaire
présenté au festival de Locarno en 2017
Séance
en présence du réalisateur, Samuel Chalard
Samuel Chalard, réalisateur suisse. Favela Olimpica est son premier long métrage. Il a auparavant travaillé pour des compagnies théatrales, des architectes et des musées. Il a aussi réalisé plusieurs courts métrages dont Le prince du Japon en 2010, Amateurs en 2007 et Regards d'enfants en 2003.
Tarif de la salle
Samuel Chalard, réalisateur suisse. Favela Olimpica est son premier long métrage. Il a auparavant travaillé pour des compagnies théatrales, des architectes et des musées. Il a aussi réalisé plusieurs courts métrages dont Le prince du Japon en 2010, Amateurs en 2007 et Regards d'enfants en 2003.
Tarif de la salle
Intervenants :
Olivier
Bertrand : Conseiller municipal grenoblois, délégué aux Animations
et Evènements
Sportifs
Guillaume
Bourgois est maitre de conférences en études cinématographiques à
l'Université
Grenoble-Alpes. Il
travaille principalement sur le cinéma portugais, les films de
Godard et lecinéma
américain.Il a publié un essai sur L'Etrange affaire Angélica de
Manoel de Oliveira ainsi que
des articles dans différentes revues cinématographiques. Son
prochain ouvrage intitulé Regards
et écoutes Ray, Godard, Visconti & friends paraitra chez
l'Harmattan dans les prochains
mois.
Pierre
Jailloux, maitre de conférences en études cinématographiques à
l'Université Grenoble-Alpes
où il enseigne notamment l'Histoire du cinéma. Pierre jailloux
s'intéresse à toutes
sortes de films mais plus particulièrement à leur dimension
fantastique. Auteur de différents
articles dans des revues spécialisées et intervenant régulièrement
dans des colloques
et journées d'étude, il écrit actuellement un essai sur Virgin
Suicides de Sofia
Coppola
Pierre
Mériaux conseiller municipal grenoblois, délégué Tourisme
et Montagne
Informations générales
Informations générales
MDEE-
Cinéduc
La
Maison des Enseignants et de l’Education tout au long de la
vie-Cinéduc s’inscrit dans une double finalité d’éducation et
de culture. Créée en 2002, l’association a pour objectif de
contribuer à initier des espaces de réflexion, de formation,
d’innovation en direction des publics jeunes et du public adulte
Site:
http://cineducmdee.blogspot.fr
Mail
: contact.cineduc@gmail.com
Adresse :
4 rue Hector Berlioz 38000 Grenoble
Programmation
MDEE-Cinéduc
Partenaires
de Programmation
CIO
(Comité International Olympique)
Ville
de Grenoble
Cinéma
Le Club Grenoble
Partenaires
financiers
Ville
de Grenoble
Le
conseil départemental
Participation
du cinéma Le Club
Contacts
contact.cineduc@gmail.com
cineducmdee.blogspot.com
Logos
MDEE-Cinéduc,
ville de Grenoble, comité olympique municipal, CIO, le Club, conseil
départemental
samedi 13 janvier 2018
Dans le cadre d'EXPERIMENTA, Biennale Arts Sciences, projection du film Her de Spike Jonze. le 8 février au cinéma Le Club à Grenoble à 20h15.
Dans
le cadre d'EXPERIMENTA, Biennale Arts Sciences, projection du film
Her de Spike Jonze. le 8 février à 20h15 au cinéma Le Club à Grenoble.
Ce
film a été récompensé par l'Oscar du meilleur scénario original
en 2014.
Résumé :
Los Angeles dans un futur proche. Theodore Twombly est inconsolable
suite à une rupture difficile.Il fait l'acquisition d'un programme
informatique ultra moderne capable de s'adapter à la personnalité
de chaque utilisateur. En lançant le système, il fait la
connaissance de Samantha, une voix féminine intelligente, intuitive
et drôle. Ils tombent amoureux.
La
séance est organisée en partenariat avec l'Hexagone et
l'association MDEE-Cineduc.
mercredi 10 janvier 2018
Projection du film Belinda, en présence de la réalisatrice Marie Dumora. Vendredi 12 janvier 2018 à 20h15 au cinéma le Club, Grenoble
Belinda
a 9 ans. Elle aime la neige, la glace pour glisser, plus encore sa
sœur avec qui elle vit en foyer. On les sépare. Belinda a 15 ans.
Pas du genre à vouloir travailler dans un magasin de chaussures, en
mécanique à la rigueur. Belinda a 23 ans, elle aime de toutes ses
forces Thierry, ses yeux bleus, son accent des Vosges. Elle veut se
marier pour n’en être jamais séparée. Coûte que coûte.
La
réalisatrice :
Marie
Dumora s’est fabriqué un petit territoire de cinéma. Elle dit
plutôt : « Un univers. Chacun de mes films est à trois
kilomètres du précédent. » Tout a commencé dans une voiture
qui emmenait deux sœurs, Sabrina et Belinda, vers leur foyer
d’accueil en Alsace. C’était en 2001, Marie Dumora tournait son
premier long, Avec ou sans toi. Puis elle a retrouvé Sabrina à 16
ans et l’a filmée jeune mère (Je voudrais aimer personne, 2010).
Dans ce film, on croisait un garçon qui saluait pour dire au revoir
: « Je vais de l’autre côté des rails ! » Elle
l’a suivi. De l’autre côté des rails, elle a tourné deux
autres films. Et ainsi de suite.
Avec
Belinda, bouleversant docu présenté à l’Acid, Marie Dumora est
revenue vers la jeune sœur de la voiture et la montre à trois âges,
en partie grâce aux rushs accumulés toutes ces années. Belinda
bouffe la vie, même si la vie la mord un peu trop. (Libération,
Sonya Faure)
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